Seika venait de terminer sa mission au Japon et, elle rentra enfin chez elle. Soulager de ne pas avoir à marcher, elle prit l'avion qui l'avait amener là-bas, s'étendit dans la section V.I.P et s'endormit. Environ 5 heures plus tard, elle entendit un :
-Mademoiselle, mademoiselle. Tout en la secouant, elle reprit d'une voix un peu plus forte. Mademoiselle, réveillez-vous. Puis, quand elle vit que Seika était réveiller lui demanda. Mademoiselle, pardon de vous déranger mais, voulez-vous quelque chose à boire ou à manger ?
Seika la regarda, complètement pomer puis, ayant finalement compris ce qu'elle voulait, éclata d'un rire cristallin, sans aucune raison apparente. Elle se mit à murmurer ...
-Veuillez m'excuser madame, je ne voulais point me moquer de vous. C'est juste que j'avais complètement oublier que je me trouvais dans un avion en vol qui, soit-dit en passant, dont les bancs sont très confortable. Elle se mit à murmurer ... Et vous devriez me donner la marque de vos fournisseurs, j'en voudrais bien pour chez moi de ça... Elle arrêta la son monologue avec elle même, se tourna vers l'hôtesse et ditet donc, de voir quelqu'un me regarder ainsi, ça ma fait bizarre. Je voudrais bien une bouteille d'eau, si vous en avez, s'il vous plait.
L'hôtesse lui fit un sourire hésitant et lui donna ce qu'elle voulait puis, elle partit comme elle était venu. Seika prit une gorgé ou deux puis se recoucha, voulant rattraper ses heures de sommeil de retard. La chasse au Akuma l'avait vraiment épuiser, il devait y avoir au moins une bonne dizaine de niveau 2 et 3 ou 4 niveau 3. Elle s'était donc servit plus que nécessaire de sa 3e technique, ce qui l'avait grandement vidé de ses forces. Il devait avoir perdu au moins 2 chercheurs. Seika s'en voulait, elle et son coéquipier n'avait rien pu faire pour les sauver. Elle se rendormit donc, des idées noirs plein la tête. Enfin, lorsque l'avion atterrit, elle se réveilla à cause de la secousse.
Elle prit ses affaires, sortit de l'avion, prit sa voiture et se dirigea vers le quartier général, bien qu'elle ait du mal à se rappeler du chemin par cœur. Arrivé en vu de la colline, elle souffla un bon coup et commença à monter, des idées de meurtre plein la tête. Un vieu fou lui avait coupé la route, prétextant qu'elle ne roulait pas assez vite alors qu'elle roulait à pas moins de 120 km. Un peu plus et la mustang noir du gars, elle se retrouvait à la casse et le gars, lui, à l'hôpital. Arrivé devant la porte, elle souffla un bon long coup avant d'aller devant et d'attendre. La porte la scanna donc puis, lorsque la porte s'ouvrit, en voulant rentrée, elle se prit dans ses propres pieds et s'écroula de tout son long.
-Ah mais non mais, c'est pas vrai, en plus d'être tomber une bonne vingtaine de fois en chemin à cause d'une foutu roche, qui était dans mon chemin, soit-dit en passant, fallait que je me prenne les pieds dans.... Elle regarda dans quoi elle s'était prit et éclata de rire, se foutant de sa propre gueule. Ah bah tient, maintenant je vire folle moi. J'me suis pris les pieds dans....bah dans les pieds.
Puis, elle se remit à rire, un rire quasi hystérique. Toute la tension accumuler s'écoulait enfin hors d'elle, la laissant les larmes coulant de ses yeux. Elle ne savait pas si elle riait ou pleurait mais, une chose était certaine, un rire hystérique sortant de sa gorge et, elle était dans une position grotesque sur le sol. Puis, elle entendit une voix et une main apparût dans son champ de vision. Elle cessa net de rire, reprit son masque de neutralité, prit la main tendu et se leva. Elle observa la personne devant elle, lui fit un petit sourire contrit, croisa les bras sur sa poitrine parce que, soit-dit en passant, son chandail était à moitié déchiré et, bouda. Elle s'en voulait de s'être laisser aller ainsi. Ses joues prirent une jolie teinte carmin et elle risqua un coup d'œil vers le visage de la personne qui l'avait aidé. En même temps, elle essuya, le plus discrètement, on s'entend, les larmes qui coulait toujours de ses yeux, la laissant dans des sanglots silencieux.
Une personne qui la verrait ainsi, dirait surement qu'elle riait avant de pleurer mais, Seika elle, savait que c'était faux. Elle pleurait parce qu'elle était triste et, elle s'en voulait.
Sam 28 Nov - 1:33